Extraits de Ecce Homo, ces courts textes ne m’ont pas laissé une impression très marquante. J’avais essayé de lire Nietzsche étant jeune, mais je m’étais cassé les dents. Là c’est pareil, je ne vois pas où il veut venir. Quelle idée aussi de le lire en anglais ! Encore une fois je ne sais pas pourquoi je me laisse embobiner par ces courts livres anglais. C’est du gâchis de papier à mon sens.
Mais de quoi parle Nietzsche ? S’agit-il d’un panégyrique ? Il parle de lui, de son obsession pour l’hygiène et même de nourriture pour évoquer sa formation intellectuelle.
L’égoïsme est brièvement justifié à la fin de « Why am I so clever ». Il doit y avoir une influence de Stirner que je n’arrive pas vraiment à évaluer.
On y retrouve la célèbre formule « ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». Il est aussi question d’Anti-Christ. C’est peut-être pour cette raison que ce court livre a été publié.
Je n’y ai vu développé aucune philosophie, aucune idée potable. Outre une mégalomanie incroyable.
Rien de très intéressant à mes yeux.