C’est dense. Très dense et ça part dans tous les sens. Absurde. Quelques fulgurances mais globalement une lecture assez pénible.
Il y a pourtant un élément intéressant dans ces faux poèmes en prose, c’est la révolte. Contre Dieu, contre l’homme si imparfait.
Quel dommage de ne pas avoir aéré un peu plus le texte ! Il aurait été plus facile à déchiffrer. Il en résulte un arrière-goût d’inachevé, presque brouillon malgré la maitrise des mots.
Adoubé par les Surréalistes, le texte mériterait une seconde lecture. Peut-être. Car rien ne semble laissé au hasard, et le micro-références sont nombreuses.