La détérioration des rapports sociaux dans un gratte-ciel moderne. Le retour à l'animalitié comme échappatoire au conformisme imposé par les sociétés modernes. Le modernisme comme facteur déshumanisant.
Un roman qui met le lecteur mal à l'aise. Il est pris à parti au début du roman parce que les tracas du quotidien parlent à toutes personnes ayant vécu en ville dans des espaces confinés, étouffants. Le roman évolue peu à peu vers l'absurde.
Dans un espace confiné les protagonistes finissent par céder, un point de rupture, à toutes les obligations que nous imposent la vie en société.